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Amour souffre de son prénom ridicule depuis toujours, ce qui l’a rendu au moins philosophe. Après l’avoir licencié en mathématiques et diplômé docteur en anthropologie, le destin a fait de lui un flic. Un flic qui n’a rien demandé, sinon un peu de sérénité et de recul pour trouver un sens à sa vie. Car son amour, justement, a été emportée à 36 ans par un cancer du sang. Il se croyait à l’abri de la souffrance et des souvenirs à Angers, une ville où il ne se passe jamais rien. Mais lorsqu’un meurtrier en série tueur de suicidaires se met à jouer au chat et à la souris avec la police, à travers des énigmes mathématiques et le jeu du tarot, Amour se voit dans l’obligation d’enquêter dans les milieux tabous de SOS Amitié. Ce qu’il va y découvrir dépasse son esprit rationnel. Sa quête va le mener à embrasser un nouveau genre de mort. Pas celle que l’on peut côtoyer quotidiennement en tant que flic. Plutôt une mort sophistiquée, ravageuse et pleine de sens, qui taraude tout être humain en filigrane, chaque seconde qui passe, la mort inéluctable qui ôte toute envie de vaincre. Et Amour va vite apprendre que chaque destin mérite au moins un peu d’attention : non, les apparences ne suffisent pas à trouver un sens à la vie…
Dans ce thriller sombre au rythme forcené – âmes sensibles, s’abstenir… – vous êtes invité à regarder la mort dans les yeux. Oserez-vous faire de l’objectif vital d’Amour – mettre un nom sur le Mal – le vôtre ?
Nous menons une analyse des forces qui structurent l’œuvre littéraire d’Anatole France sous le jour original d’un concept-clé, le Désir. Celui-ci, central, renégocie catégoriquement le sens et l’architecture des textes franciens : cette instance encore peu étudiée organise toute la pensée de l’auteur, rendant une nouvelle cohérence à son œuvre. Le Désir détermine par l’écriture une morale, une herméneutique et une interprétation du monde particulières, qui engendrent une philosophie pressentant l’inconscient freudien et la phénoménologie de Husserl. La contribution francienne à l’histoire littéraire du XXe siècle demeure donc fondamentale.
Par une poétique inédite, malgré son apparent classicisme, et structurée par les finalités existentielles, sociopolitiques et éthiques issues du Désir, cette philosophie du monde est directement issue d’une écriture qui replace l’homme au centre de l’univers par la phénoménologie. L’entropie du temps, l’immensité de l’espace, la mort ainsi que tous les dogmes inébranlables et terrorisants, entraînent une révolte ontologique de notre auteur. Anatole France, par le Désir de connaître le sens de l’existence humaine au-delà des voiles mensongers du monde, va recréer un univers signifiant et analysable par le mythe. Dialectiquement, cet univers dépassera les désespoirs issus de l’évolution darwinienne et donnera naissance à une philosophie du monde.
Par un scepticisme lucide issu du Désir, et non l’inverse comme il est traditionnellement admis, Anatole France nous emmène au cœur du monde par l’écriture d’un logos original et rendant à l’homme son honneur d’exister.
Cette thèse est devenue une référence reconnue en ce qui concerne Anatole France, mais aussi l’époque décadente.
Entre thriller métaphysique et roman de mœurs, L’Équation vous emmène au cœur d’un Québec qui n’est pas vraiment celui des cartes postales. Klara Virga, du haut de ses vingt printemps et de son mètre quatre-vingts, est étudiante en lettres. Ses parents, riches à millions, ont provoqué chez elle un dégoût profond de l’humanité. Décidée un beau matin à tout plaquer pour devenir mannequin, elle se lance dans l’aventure avec toute la rage de sa naïveté pour participer à un casting prometteur. Comme un bonheur n’arrive jamais seul, elle rencontre aussi l’homme de sa vie, un petit génie des sciences de la matière. Mais ce qu’elle ignore, c’est qu’elle va croiser le chemin d’un complot sans doute mondial… et que ses plus grands protecteurs ne sont pas ceux que l’on croit.
Avec Klara, venez goûter aux ivresses du pouvoir et de la célébrité. Utilisez votre fibre sociale pour vous faire une vie de rêve, dans l’étrange épanouissement du don à l’autre. Et découvrez l’épouvantable envers du décor. L’Équation, c’est un faux roman d’amour qui rime hélas avec toujours…
L’Exutoire, c’est un thriller policier. Enfin, peut-être et pas seulement… Le héros, Marc Dupré, est pourtant flic. Et pas n’importe lequel : il dirige la police scientifique d’Angers, qui a sous sa juridiction pas moins d’une vingtaine de départements de l’Ouest de la France. Et il est reconnu comme un petit génie de la biochimie. Mais lorsqu’une série de meurtres particulièrement complexes entraîne Marc dans une perplexité absolue, sa carrière se transforme en cauchemar. Secondé par Martin, son ami de toujours, il ne peut se résoudre à la vérité : le tueur en série est une tueuse surdouée, spécialisée comme lui en biochimie. Et comme le métier de policier scientifique est de restreindre le champ des possibles, la vérité éclate bientôt. Et si La Faucheuse, c’était Marine-Adeline, la sœur de Marc ?…
Mais comme souvent, la vérité est plus complexe… Laissez-vous entraîner dans ce thriller palpitant où, c’est vraiment promis, vous ne connaîtrez le pot-aux-roses qu’à la dernière page…
Le Dernier Opus est un thriller palpitant. Daniel Constantin est un pianiste de génie. Anticonformiste, il vit avec sa femme, Bella, également pianiste de renommée mondial, au sommet d’une colline sur les bords de Loire. Dans ce huis-clos devenu pesant au fil des années, la composition bat son plein, quotidiennement. Mais c’est sans doute la seule chose qui fonctionne. Le couple se déchire, ne se supporte plus, mais il est impossible de se passer l’un de l’autre. Quand arrive un jeune prodige qui souhaite que Daniel devienne son professeur personnel, la musique pourrait bien en être révolutionnée. Mais comme la théorie est aussi droite que la réalité est tordue, cette révolution ne sera pas celle que l’on croit…
Découvrez ce Dernier Opus, premier roman de Boris Foucaud, qui vous emmènera en Anjou et à Florence, certes, mais qui vous fera également visiter les confins de la folie et de la passion.
Adam est analyste financier dans une boîte multinationale reconnue. Son objectif ? Entrer dans le panthéon et devenir associé. Son réel ? Une vie de travail acharné, aux journées sans cesse recommencées, où rien n’avance. Désespéré, il voit ses collègues, nuls en maths et humainement médiocres, mais au charisme certain et au réseau avantageux, devenir des boss tandis que lui stagne dramatiquement. Pourtant, Adam est un surdoué des mathématiques. Issu de Polytechnique où il s’est ennuyé, il a modélisé les cours de la bourse pour au moins les deux ans à venir, ce qui est en principe absolument impossible. Et justement : Adam a décelé une crise à venir sans précédent, une catastrophe qui ébranlera le monde. Mais personne ne l’écoute, lui, IBM, L’Imbécile à la Bosse des Maths. Mais quand Adam rencontre Hélène, cette figure emblématique de la femme à conquérir désirée par toute l’élite économique, la donne change. Il va devenir, en quelques années, un nouveau messie rentier à vie. De quoi le rendre heureux ?… Que devient un humain lorsqu’il ne désire plus ?…
Ludmila, c’est un roman qui vous donnera une vision possible du monde actuel, de la crise. Et une aventure vers l’amour fou. Celui qui dépasse tout : le fric, le pouvoir, la vérité… et qui permet d’accéder aux racines du monde, à ce pour quoi l’humain a été créé… Même si cette vérité des temps originels est purement inavouable. Et si, comme Adam, vous étiez devenu immensément riche, deviendriez-vous ange ou démon ? ou simplement humain ?…
Le monde de la poésie n’a plus la cote en 2015 et c’est vraiment dommage. Parfois, les questions les plus profondes, les plus intimes, se nichent dans le verbe poétique… Impossible de les exprimer autrement, et même, impossible de les lire et de les partager autrement…
La poésie n’est pas une expression démodée, compliquée, élitiste, pénible, académique. C’est tout le contraire. Vous pariez ?…
« Poésie », cela signifie, en grec, « création ». En ce qui me concerne, la poésie complète mes romans. Les thèmes mis en jeu y sont les mêmes, strictement : un socle, la mort. Une quête de sens : le désir. Un pari : trouver une réponse. Un risque : dire un monde qui ne soit pas le bon. Une échappatoire : l’abyme absurde ne sert à rien si on ne le peint pas par le verbe. Une nécessité : partager une vision du monde à tous les lecteurs. Un trou béant : et si le verbe ne créait rien du tout, et s’il se contentait de donner des illusoires couleurs à l’abyme ?
Ma poésie, c’est cette impossible exploration de cette question de Voltaire, qui a fondé l’absurde, cette question primordiale : Pourquoi ? Ma poésie, elle a pour but de partager, et de fonctionner comme au XIXe siècle, en donnant en pâture au lecteur par les mots exactement ce que je veux lui donner. Exactement, parce que les textes sont vraiment conçus pour, ils sont patinés. Non, ce n’est ni démodé, ni compliqué, ni élitiste, ni pénible. C’est l’écriture qui est compliquée, pas la lecture. Partager le monde par le verbe, c’est compliqué. Le lire, c’est juste embrasser le monde, un monde, le mien, le nôtre.
Mais la poésie, c’est justement ce que je veux vous offrir : c’est ma quête.
Le monde de la poésie n’a plus la cote en 2015 et c’est vraiment dommage. Parfois, les questions les plus profondes, les plus intimes, se nichent dans le verbe poétique… Impossible de les exprimer autrement, et même, impossible de les lire et de les partager autrement…
La poésie n’est pas une expression démodée, compliquée, élitiste, pénible, académique. C’est tout le contraire. Vous pariez ?…
« Poésie », cela signifie, en grec, « création ». En ce qui me concerne, la poésie complète mes romans. Les thèmes mis en jeu y sont les mêmes, strictement : un socle, la mort. Une quête de sens : le désir. Un pari : trouver une réponse. Un risque : dire un monde qui ne soit pas le bon. Une échappatoire : l’abyme absurde ne sert à rien si on ne le peint pas par le verbe. Une nécessité : partager une vision du monde à tous les lecteurs. Un trou béant : et si le verbe ne créait rien du tout, et s’il se contentait de donner des illusoires couleurs à l’abyme ?
Ma poésie, c’est cette impossible exploration de cette question de Voltaire, qui a fondé l’absurde, cette question primordiale : Pourquoi ? Ma poésie, elle a pour but de partager, et de fonctionner comme au XIXe siècle, en donnant en pâture au lecteur par les mots exactement ce que je veux lui donner. Exactement, parce que les textes sont vraiment conçus pour, ils sont patinés. Non, ce n’est ni démodé, ni compliqué, ni élitiste, ni pénible. C’est l’écriture qui est compliquée, pas la lecture. Partager le monde par le verbe, c’est compliqué. Le lire, c’est juste embrasser le monde, un monde, le mien, le nôtre.
Mais la poésie, c’est justement ce que je veux vous offrir : c’est ma quête.